Microsiphon est de retour
pour la neuvième édition de son festival :
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Micro-éditions et curiosités singulières
fanzines, sérigraphies, risos,
objets graphiques et surprises non listées…
Des éditeurices et artistes,
venu·es de partout, de nulle part
Des pépites sur table,
des tirages limités sous le manteau
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Des ateliers pour mettre les mains dedans
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Des concerts et performances
pour agiter les oreilles et secouer les marges
La soirée siphonnée du vendredi…
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De la distro à fouiller sans modération
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Des food trucks pour se sustenter
Une buvette pour hydrater les idées
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Ça se passe à Motoco,
les 3, 4 et 5 octobre
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Entrez curieux·ses
Plus d’infos à venir – restez à l’affut

instagram/microsiphon
facebook/microsiphon

L'affiche 2025 signée Caroline Sury

Dessinatrice, autrice de bande dessinée et éditrice, Caroline Sury travaille aussi le papier découpé, donnant naissance à des figures totémiques entre dentelle et sculpture.

Invitée de l’édition 2021 de Microsiphon, elle découvre DMC et est saisie par la mémoire ouvrière des lieux, la trace de toutes ces vies passées entre les machines et en particulier celle des ouvrières anonymes, de ces « femmes-machines », rouages essentiels mais méconnus de la filature.

Caroline Sury a fait de ces inspirations et du célèbre fil DMC son fil rouge — littéralement — pour réaliser le visuel du festival 2025. Un hommage en papier découpé au passé industriel du site, avec une approche graphique qui fait écho à la gravure sociale de Frans Masereel et une typographie Sans Merci (créée par Jack Usine pour la fonderie SMeltery) inspirée par les toitures en dents de scie des ateliers.

instagram/carolinesurymi
facebook/carolinesury

Exposants

Rendez-vous les Samedi 4 octobre de 13h14 à 19h et  Dimanche 5 octobre de 11h à 18h pour découvrir les invités de cette neuvième édition.

Entrée du salon : 4€

Virginie Schmitt (Nancy)

Virginie Schmitt joue avec le potentiel de mise à distance graphique offert par la trame pour nous donner à voir, non sans ironie, les drames de notre « société du spectacle ». Son travail est traversé par le cinéma et l’image en mouvement.

Les sœurs siamoises (Paris)

Tout juste échappées de leur Siamistan natal, les Soeurs Siamoises présentent leurs éditions à longues oreilles, peintures panoramiques, céramiques en dolby stéréo, affiches à monstres graphiques et autres étrangetés typographiques porte-bonheur et hallucinogènes.

L'imprim(&)rie (Belfort)

Fondateur de l'Oupupo dont il est le seul membre passif et gentillement névrosé,il sait que nous sommes tous constitués de pièces de puzzles. Des formes qui certes ne s'emboîtent jamais parfaitement, mais font écho à ses circonvolutions cérébrales. Alors en tirer avantage et opter pour l'Imprimer(&)rie-un-peu-tant-que-tu-peux.

Lucie Drazek (Dijon)

À travers ses dessins à l’encre noire, Lucie Drazek développe un univers à la croisée de la science-fiction et de l’imaginaire médiéval. Elle tisse une mythologie de figures hybrides et animales, fissurant les rapports de domination et faisant surgir de nouveaux récits de résistance.

Lisa Mazoyer (Tournus)

Artiste plasticienne, Lisa Mazoyer construit un univers singulier dans lequel animal, végétal et humain s'entremêlent. Son travail se décline en images, par le dessin, la gravure et autres procédés d'impression artisanale, en photographie, mais aussi en volume, avec notamment la création de masques.

Camille Bertagna (Paris)

Camille Bertagna crée des dessins aux couleurs vives et contrastées, et prône à travers son travail un amusement sérieux. Elle dépeint un monde au bord de la crise de nerfs ou la normalité devient absurde et où la catastrophe frappe à la porte, comme dans un rêve.

Marie-Pierre Brunel (Paris)

Marie-Pierre Brunel a de multiples pratiques et aspirations : dessin, narration, serigraphie, éditions, fanzine, peinture et art contemporain. Un univers qui se déploie dans l’angoisse du familier, et se fraye un chemin entre mythes, chamanisme et rites ancestraux.

Fourchette-Boulette (Marseille)

Fourchette-Boulette c’est deux artistes marseillaises qui font des illustrations engagées, réagissent à chaud aux mobilisations sociales qui ébranlent le pays et s’emparent de leurs outils - sérigraphie, crayons de couleurs ou céramique - pour faire exploser leur colère !

Fleshtone (Mulhouse)

L’association Fleshtone diffuse les travaux d’artistes locaux mais pas que. Parmi ses contributeurs: Dominique Meyer, Lili Terrana, Iva Sintic, Vincent Vanoli, Philippe Desouter, Bertoyas, Guy Delisle, Stéphane Mercier et les groupes TAOH, Skatebirds, Lauter, KG ou Dear Boy.

Slurp (Toulouse)

Le duo Desperfecto et Mathilde Vignaud signe des graphzines et des posters aux couleurs acidulées, où pointillisme et lignes griffées s'entrechoquent pour faire surgir un univers grotesque, peuplé d’humour et de personnages dégénérés. Slurp publie également les travaux d’autres artistes partageant cet imaginaire singulier.

Atelier Scarole (Lanester)

Bienvenue chez Atelier Scarole. Le premier, Fritz Bol manie gravure, risographie et sérigraphie pour multiplier ses images. Le second, Gwenael Morice, pratique l’art d'accommoder les restes. Le troisième, Julien Scheidle, intègre l’image à son travail.

Divine Sauvage (Colmar)

Avec Divine Sauvage, le corps devient toile, le rituel et l’éphémère laissent une trace durable. Dans cette exploration alternative qui relie l’invisible à la matière, l’art et le mystère, chaque rencontre se transforme en œuvre personnalisée et révélatrice…

SPARRRK (Mulhouse)

Le Jardin Errant, où j’ai trouvé ces étranges habitants. Peut-être ne les a-t-on jamais vus. Si vous criez en voix de chien, le jardin vous entend et il arrive vers vous.

Ateliers - tout public

Poupées

Par Odette Picaud (Sizun) 

Samedi 14h30

et 

Dimanche 14h

Durée : 2h30/3h 

A partir de 7 ans.

5€ sur réservation

10 participant•es maximum

Odette Picaud est née dans une boîte à chaussures, remplie de photos souvenirs, abandonnée dans une décharge. Depuis, elle glane et collectionne vestiges du passé et curiosités et travaille les mémoires en recomposant patiemment de bienveillantes poupées fétiches…Le temps d’un atelier avec Odette Picaud, venez créer votre poupée à partir de matériaux de récupération. L’occasion de coudre, fouiller, assembler, découper, déchirer, coller, papoter et de vous amuser !

Tiger inside

Par Caroline Sury (Marseille) 

Samedi 15h00

Durée : 2h

A partir de 8 ans.

5€ sur réservation

10 participant•es maximum

Atelier créatif pour faire surgir son animal totem d’une feuille de papier noir.
 Après une présentation du travail en papier découpé de l’artiste Caroline Sury, chaque participant est invité à expérimenter les techniques de découpage sur le thème de son animal totem, celui qui nous représente et nous donne de l’énergie et le petit monstre que l’on porte en soi. Chacun repart avec sa création en papier découpé.


Masques

Par Caroline Sury (Marseille) 

Dimanche 15h00

Durée : 2h

A partir de 8 ans.

5€ sur réservation

10 participant•es maximum

Création d’un masque en papier découpé. Après une présentation du travail en papier découpé de l’artiste Caroline Sury, chaque participant est invité à expérimenter les techniques de découpage sur le thème de son animal totem, pour le faire surgir de la feuille de papier noir.


« Bestiaire de table »

Par Juliett’ (Mulhouse) 

Dimanche de 13h00 à 17h00

Accès libre et gratuit

Comme chaque année Juliett’ nous proposera un atelier au top de la création  !

Surprises à suivre…

Sonore

Par Orquesta Experimental de Instrumentos Nativos (Bolivie) 

Dimanche 11h00

Durée : 1h

Inscriptions en ligne sur le site du festival Météo ou en cliquant ici

5 € sur réservation (entrée à Microsiphon incluse)

20 participant•es maximum

Autour du spectacle Contra la Extinción, découvrez les sonorités uniques des sikus, flûtes de pan des andes boliviennes, lors d’un atelier de pratique mené par les membres de l’Orquesta Experimental de Instrumentos Nativos. En vous appuyant sur des techniques de jeu ancestrales, vous apprendrez à jouer une mélodie traditionnelle andine tout en découvrant l’importance de cet instrument dans la culture bolivienne.

Atelier proposé dans le cadre du Festival Microsiphon et du festival Musica, en partenariat avec le festival Météo.

Concert

 

Samedi à partir de 20h30

Prévente 13€ – pour y accéder cliquer ici
Caisse du soir 15€

Maria Violenza – post-punk-arabo-électro – (Italie)

Heimat – ethno-post-new-wave – (France)

Annie-Claude Deschênes (ex Duchess Says) – électro-décalé – (Canada)

 

Dimanche à 14h30

Accès libre

Orquesta Experimental de Instrumentos Nativos (Bolivie) , expérimentalo-native

dans le cadre du Festival Musica (Strasbourg), en partenariat avec le Festival Météo (Mulhouse)

HEIMAT - Strasbourg

Avec Heimat, Olivier Demeaux (Cheveu, Accident du Travail) et Armelle Oberle (The Dreams, Badaboum) imposent leur style étrange et lyrique : des compositions originales aux inspirations multiples, new wave, trap et world music. Le duo vient de sortir son troisième album "Iti eta no", designé par Anouk Ricard, lauréate du grand prix d'Angoulême 2025.
samedi

MARIA VIOLENZA - Palerme (Italie)

Elle traduit la souffrance par des mélodies punk et synthétiques, un voyage en métro en sens contraire de Médine à La Mecque. Ça vous cloue au mur, les névroses s'accentuent, et l'accélération fatale des beats vous emmène dans le monde souterrain. Maria Violenza, c'est de l'exorcisme moderne avec comme outils une boîte à rythme, un synthé, un looper et des riffs folkloriques arabes.
samedi

ANNIE CLAUDE DESCHÊNES - Montréal (Canada)

Figure de proue de la scène musicale indé montréalaise depuis plus de vingt ans, Annie-Claude Deschênes (Duchess Says, PyPy) fusionne musique et performance, explosant les conventions scéniques. Dansant et troublant, son premier album solo, “Les Manières de table”, met les pieds et les doigts dans les codes sociaux de la politesse. credit photo : Yannick Grandmont
Samedi

CONTRA LA EXTINCION - Bolivie

Un dialogue entre instruments traditionnels des Andes, musique contemporaine bolivienne et milieu naturel, c’est que proposent les quatre musiciens de L’Orquesta Experimental de Instrumentos Nativos. Concert gratuit en partenariat avec les festivals Musica et Météo.
Dimanche

Présentation

Depuis 2017, le festival Microsiphon réunit auteurs et visiteurs autour de l’image imprimée et du multiple, par le biais d’expositions et d’un salon. Le temps d’un week-end, le fait-main en série limitée est mis à l’honneur à Mulhouse.
Microsiphon accueille des artistes illustrateurs, sérigraphes, graphistes en provenance de toute la France mais aussi d’Allemagne, de Belgique et de Suisse ce qui lui vaut désormais une renommée nationale et transfrontalière.
À l’ère de la standardisation d’une partie de la culture, le festival propose de découvrir d’autres formes culturelles. Des formes libres et autonomes, tant par leur contenu que par leur économie.
La micro-édition s’entendant ici au sens large, d’autres supports que le papier sont présentés – objets, textiles, productions sonores, etc. – permettant de découvrir différentes formes d’éditions alternatives.
Microsiphon est aussi un temps de rencontre : les artistes sont présents pendant toute la durée du festival pour échanger sur leur pratique avec les visiteurs.
Afin de rendre le festival accessible à un large public, des ateliers plastiques sont proposés pendant le festival, dont l’affiche est également complétée par des concerts.

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